La compétition moto est une activité que j’affectionne particulièrement, surtout pour le plaisir que cela me procure… C’est une passion qui me colle depuis mon plus jeune âge à vrai dire.
Un rêve de gosse
Depuis mon plus jeune âge, j’étais fasciné par les belles mécaniques notamment à partir des moments où je passais les vacances chez de la famille à Bordeaux. Je me rappelle que mon cousin Ted avait une petite Yamaha 250qu’il bichonnait tellement : il l’aimait plus que tout et même plus que les femmes… Pourquoi ? Parce que selon lui, les femmes tombaient comme des mouches devant un jeune homme et une belle machine…
Je n’avais que douze ans, mais j’acquiesçais, convaincu comme jamais. Mais le véritable déclic fut quand il me proposa de faire un tour avec lui… habitant à la campagne j’avais rarement l’occasion de monter sur un tel engin – jamais pour être tout à fait franc. Le vent qui m’asphyxiait au contact de ma figure ne faisait qu’accroitre mon excitation : j’en voulais encore… Et le virus ne m’a pas lâché… à mes 16 ans j’ai pu m’acheter un petit scooter avec quelques économies et un casque chez centrale du casque et j’ai commencé à faire le kéké un peu partout…
C’est alors que j’eus un accident de la route – bénin je vous rassure- et que mon père m’a réprimandé sévèrement. Ce jour-là il m’a fait jurer de ne faire la folle que dans de bonnes conditions de sécurité… J’avais compris qu’il n’était donc pas contre les petites compétitions régionales ou autres, du moment que c’était safe and secure…
Une passion qui ne me quitte plus
Depuis ce jour, je m’étais fait une fixation : celle de participer à des compétitions de moto. J’avais d’ailleurs une préférence pour le cross, même si je n’avais aucune expérience en la matière. Ce qui m’a étonné, c’est la simplicité avec laquelle j’ai pu m’adapter à ce monde qui paraissait si fermé. Au final, les gars étaient bien sympas et bon nombre d’entre eux me donnaient des conseils par ci par là.
Je venais de réaliser mon rêve de gosse, et j’admets être resté ce même gosse jusqu’à présent du moins lorsque j’enfourche une moto. Je ne suis pas un compétiteur de haut niveau, mais je dois avouer que j’ai tout de même progressé au cours de ces quelques années. Mais surtout, je prends toujours autant de plaisir à sauter les dunes et atterrir, prendre un virage en pleine corde et bien d’autres choses…
Je suis également attiré par les compétitions moto en circuit, mais je ne suis pas encore sûr d’être en mesure de contrôler des machines aussi grosses et aussi puissantes… Qui sait, on dit qu’il ne faut jamais dire jamais…